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Adam NIDZGORSKI

vendredi 25 novembre au jeudi 8 décembre 2011
Vernissage le vendredi 25 à partir de 18h30 en présence d'Alain BOUILLET qui proposera une causerie :

" Adam NIDZGORSKI, un primitif contemporain ? "

Exposition ouverte du mardi au vendredi de 16h à 18h, les samedi et dimanche de 10h à 12h , aux heures d'atelier et sur rendez-vous.

VOIR :
des photos du vernissage
les pages de ses précédentes expos à l'atelier:
en septembre 2002
en octobre 2006

ÉCOUTER :   un enregistrement fait le soir du vernissage - Le discours d'Anne-Marie COULOMB lu par Ève JACOLIN et la causerie d'Alain BOUILLET - Télécharger le fichier MP3 - 15178ko - 16mn11 -



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Adam NIDZGORSKI , un primitif contemporain ?
Adam NIDZGORSKI : un " non-peintre sans atelier "... !?!


Dire d’Adam NIDZGORSKI qu’il est " peintre ", serait à la fois erroné et, surtout, fâcherait l’humilité foncière de l’artiste. Mais alors, comment nommer cette activité qui consiste à tracer des signes (au pinceau chinois, au doigt, au bâton d’encre de chine) et à étaler des couleurs sur des supports variés ? En fait, Adam NIDZGORSKI ne se dit pas peintre – ou plutôt, il ne s’autorise pas à se dire " peintre ". Moins encore : " artiste peintre ". Et, quand on l’interroge sur son activité, il répond " qu’il ne se dit pas peintre, mais qu’il fait de la peinture ". En outre, à la question de savoir si l’on pourrait : " venir le trouver dans son atelier ? " que ne manquent pas de lui poser certains de ces amateurs coutumiers de la fréquentation du lieu de travail des artistes, il répond au grand désappointement de ceux-ci que d’atelier, il n’en a pas. Soit, on finirait par en conclure qu’Adam NIDZGORSKI serait, en quelque sorte, " un non-peintre sans atelier ". Une façon de se présenter qui le situe bien dans la lignée des kōan de la tradition zen! En effet, il a coutume de dessiner dans une pièce de son appartement marseillais sur un petit bureau faisant office de table de travail. Un espace limité, empli, saturé; un outillage réduit au minimum. Le tout supposant une économie de déplacement, une tempérance de mouvement, une sobriété du geste qui incitent à la plénitude de la condensation et à l’intensité de la décharge. Tout autant qu’à la rareté de la production, même s’il lui arrive de travailler par rafales : volumineux carnets remplis en l’espace de quelques jours; lots de papiers couverts dans l’après-midi. Le support – fruit d’une rencontre fortuite, d’une remémoration accidentelle ou de quelque présent du à un ami de passage – suscitant presque toujours chez l’artiste le désir de se mettre à l’ouvrage en répondant à l’appel implicite qui lui est ainsi fait.
A cette diversité des supports et des techniques s’oppose une relative stabilité de la grammaire picturale. Ainsi en va-t-il de ce " cerne " qui, chez Adam NIDZGORSKI , engendre plutôt qu’il n’entoure les " personnages " qui peuplent ses dessins. Un " cerne ", trait noir tracé à la mine de plomb ou, le plus fréquemment, à l’encre de Chine, plus ou moins épais selon la technique employée (bâton, doigt ou pinceau) qui, dans les ouvrages de l’artiste, se décline tant comme " autour " des corps (enfin, de ce qui peut se repérer comme " corps " dans ses dessins.) que dans la version oculaire qu’on leur connaît mieux – " les cernes " : cercles livides qui entourent les yeux battus – et qui donnent aux prunelles noires, vertes ou rouges des yeux de ses personnages cette intensité de regard que quiconque désignera immédiatement comme un signe distinctif de sa manière.

Adam NIDZGORSKI : un peintre d’icônes laïques ?

Pour avoir longtemps discuté avec l’artiste de sa culture et de ses préférences picturales, je sais que trois noms reviennent en permanence : Georges Rouault, Paul Klee et surtout Gaston CHAISSAC qu’il découvrit lors de l’exposition de la Seita en novembre 1981 et à qui il voua, immédiatement, une admiration profonde, admiration que fondent, entre autres, son autodidaxie affirmée et plus encore sa capacité inlassable à se mettre en devoir de désapprendre toute prestesse ou habileté du tracé acquises par la maîtrise du geste. Soit des créateurs de formes qui, tous, ont mis en valeur et insisté sur le contour comme engendrement et symbolisation de la forme, tracé d’origine qui persiste même quand la flaque de couleur est, chez certains, venue ultérieurement combler en partie l’espace primordialement délimité. Le cerne, chez Adam NIDZGORSKI est partie intégrante du dessin. Il en instaure l’origine, en structure la composition, en engendre la dynamique et travaille obstinément à attirer, focaliser, retenir et conduire le regard du spectateur. D’où vient et à quoi tient cette prédilection qui détoure le regard de l’un pour mieux capter le regard de l’autre ?
Ces personnages cernés de noir, ces regards appuyés (et parfois insoutenables tant l’envie nous prend alors de baisser les yeux devant l’oeuvre), cette légère inclinaison de la tête, ce penchement de tout le corps; cette insistance du travail pictural sur l’expression du visage – qui, privilégiant la lumière qui sourd des cavités oculaires, ignore ou néglige délibérément le reste du corps et délaisse ostensiblement l’environnement – faisaient depuis longtemps monter confusément en moi une réminiscence visuelle sur laquelle, néanmoins, je n’arrivais pas à apposer une référence picturale précise. Or, tandis qu’en 2008 nous voyagions de conserve en Pologne, l’artiste et moi-même, et alors que nous nous trouvions au Musée des Icônes de SUPRASL (Pologne), l’association entre ses dessins et ce que me renvoyait ces figurations du XVIII è siècle se fit subitement, les unes venant se superposer aux autres. Le regard de ces Piéta, de ces saints et de ces apôtres, cette raideur des gestes et des postures, cette symbolique archaïque des figures, c’étaient les mêmes qui – à travers le traitement contemporain de la forme et de la couleur – transparaissaient dans les images d’Adam NIDZGORSKI .



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Une iconologie de l’être humain

Ce qu’à sa manière confirme le peintre : " C’est l’être humain qui m’intéresse le plus, il est multiple, on peut le représenter de différentes façons et cela à l’infini. C’est quelque chose d’inépuisable; il y a tellement de doutes, de douleurs, d’envies, d’espoirs, c’est fou. On ne pourra jamais l’épuiser entièrement depuis sa naissance à sa mort " écrit-t-il dans ses carnets (1). Et c’est à représenter l’être humain " en solitude ou en déréliction " (2) – comme on dirait " en majesté " – même s’il apparaît le plus souvent en couple, en groupe ou en famille, parfois même en troupe plus fournie, qu’Adam NIDZGORSKI a consacré la quasi-totalité de son oeuvre (3). A la mine de plomb, au crayon de couleur, au stylo bille, à l’encre de Chine, à la gouache, au pastel sec ou gras (4), à l’huile, à l’acrylique; sur d’humbles papiers de fruit, sur des cartons de récupération, des feuilles d’électrocardiogramme; (5) sur des papiers polychromes de provenances orientales : chinois, japonais, népalais; sur une feuille de carnet de croquis; sur des copies d’examen ou sur une nappe en papier maculée, récupérée à la suite d’une fin d’agapes amicales; sur des tickets de métro; sur les pages imprimées de certains quotidiens de la presse nationale ou locale; et, plus classiquement (mais également plus rarement) sur toile et même sur divers tissus : feutrine, tissus chamarrés et moirés comme savent en user les femmes du Moyen-Orient); traçant, peignant, coloriant, détourant, découpant et collant; assemblant et cousant ce qu’il appelle ses " peintures-textiles " (6)et qu’on assimile volontiers à des tapisseries, à partir de chutes de tissus récupérées. Soit sur tout ce qui l’attire et l’appelle, se signale à lui pour qu’à son tour, sur cette surface élue, il puisse y déposer signes et couleurs. Il apparaît rapidement qu’Adam NIDZGORSKI semble s’être donné pour tâche d’engendrer inlassablement un peuple de petits personnages aux yeux grand ouverts, animés d’une pulsion scopique irrépressible, qui, incoerciblement, les incite à délaisser séance tenante toute activité pour se mettre à vous dévisager résolument dès lors que vous avez – à vos risques et périls – esquissé un regard dans leur direction. Cette question du regard adressé est, on le sait, l’une des plus importantes parmi celles qui traversent et travaillent l’univers pictural de la représentation humaine. Adam NIDZGORSKI la reprend, et avec quelle intensité renouvelée, dans chacun de ces dessins.

Avec attention, sans tension et sans intention ?

" Ecrire, c’est dire le monde " écrit Edouard Glissant (7). Peindre, dessiner, pour Adam NIDZGORSKI serait-ce tenter de décrire le sien ? Ou bien plutôt de laisser " le " monde (Celui qui nous entoure ? Son monde intérieur ?), infuser, transfuser, apparaître, se révéler, s’exposer, se déposer et s’inscrire à travers lui ? Or, tandis que la nécessité, le ramène devant sa feuille de papier, Adam NIDZGORSKI se dit être " sans tension et sans intention " (8). Du moins faut-il entendre, par cette formulation, qu’il souhaite être, qu’il s’efforce d’être, qu’il travaille à être dans cet état de disponibilité qui lui permette d’accueillir ce qui va (ce qui doit ?) se présenter et via la main qui tient le bâton d’encre de Chine, le crayon de couleur ou le pinceau chinois, venir se déposer sur la feuille de papier. Un travail qui consiste à se mettre dans un état d’hyperesthésie permettant d’être " à l’accueil ", comme on dit être " à l’écoute " et que l’on pourrait entendre dans le sens oriental du terme : celui de relaxation, de méditation qui, par la centration cherche la vacuité. Je n’apprécie que très modérément la notion de " laisser-aller (elle a des connotations déplaisantes); encore moins celle de " laisser-faire " (qui, elle, s’annonce franchement mercantiliste); l’abandon m’est généralement étranger et je ne crois pas que l’on puisse être " sans savoir ". Mais comment faire entendre en occident ce qui consiste pour l’artiste oriental à se " concentrer " pour faire le " vide en soi " et simultanément demeurer disponible à l’aperception de tout ce qu’on ne cherche pas (ou, plutôt qu’on ne sait pas devoir chercher...) et qui finira bien par se manifester ? Travailler – comme s’y exerçait Gaston CHAISSAC – à se déprendre des savoir-faire, à laisser venir et savoir accueillir l’inquiétante étrangeté du trait non maîtrisé. Adam NIDZGORSKI travaillerait-il dans le registre de l’oxymore : celui de la pratique d’une maîtrise abandonnée ou d’un abandon maîtrisé ?

Travail sans tension et sans intention donc, mais travail d’intense attention à ce qui ne s’annonce encore que sourdement, doit se rassembler, se concentrer, s’amplifier et demande, dans l’urgence, tant à s’exprimer qu’à s’imprimer. Se faire le passeur de ce qui soudain, impérativement, semble vouloir faire irruption dans sa totalité et sa singularité, à travers lui. " Faire un dessin comme si c’était le seul que l’on doive faire, le premier et le dernier. Et à chaque fois recommencer dans le même esprit. " (9)

On reconnaîtra dans cette disposition du corps et de l’esprit quelque chose qui ressemble fort à l’enseignement que cherche à transmettre la tradition bouddhique tch’an (plus connue dans sa transcription japonaise : zen) et qui signifie : " contemplation ". Pour celle-ci, l’expérience picturale pouvait avoir en elle-même valeur d’éthique : l’artiste devait commencer par maîtriser son métier, par mesurer ses gestes, par connaître leurs effets sur le pinceau et le papier; ce faisant il se rendait maître de son être intérieur, instaurant en lui le silence qui rend les sens et l’intelligence disponibles, c'est-à-dire propres à recevoir l’image des choses les plus humbles comme les plus majestueuses. Alors, au plus profond de cette extase mystique le pinceau traçait le signe ultime, unissant en lui le regard et son objet l’âme du peintre et la vérité suprême dorénavant perçue dans son évidence. La peinture tch’an exigeait par conséquent une technique sobre, rapide, apte à saisir vivement l’essence des choses " cet art économe, intuitif, introspectif, cherchait à enregistrer un moment de vérité visuelle avec cette même instantanéité qui accompagne un éblouissement spirituel " (10). Ce qu’exprime, à son tour et à sa manière, Adam NIDZGORSKI : " Faire un trait, c’est banal, ce n’est rien d’extraordinaire. Mais si on est dans ce trait jusqu’au bout des doigts, c’est une expression artistique, c’est une création de soi, on est soi [...] ça ne vient pas toujours ces moments, on ne peux pas les créer, les vouloir. Cela vient sans que je le décide. Au delà de moi, il suffit d’être là au bon moment ou d’avoir un crayon et un papier à ce moment là [...] Il faut donc vivre son trait comme toutes les autres choses que l’on fait dans la vie, être dans ce que l’on fait, même un instant, pour inscrire ou transcrire ce que l’on est ou ce que l’on sent " (11). On saisit mieux l’importance du trait, la préférence accordée au tracé dans cette économie du geste qui retient et décharge l’énergie accumulée dans le trajet du pinceau ou du bâton d’encre de Chine sur le support élu. Et, corrélativement la moindre attention portée à la mise en couleur. Serait-ce pour cela qu’ Adam NIDZGORSKI se dit quelque peu fatigué après avoir dessiné deux heures durant ? " Les œuvres picturales sont des traces muettes que l’on regarde; et parfois on médite devant elles. Elles ne peuvent pas être dites, ce sont des œuvres pour les yeux comme les mots et la musique le sont pour le cœur et l’esprit. " (12).

Méditer...Le mot est lâché, l’affaire est entendue et nous renvoie, une fois de plus à l’histoire de la peinture en occident. Laisserons-nous, à notre tour, notre regard errer sur la mutité de ces traces et accepterons-nous (mais ne serait-ce pas pour cela qu’inconsciemment nous sommes venus en ce lieu ?) que l’insistance de leur propre regard vienne, un bref instant, interrompre l’urgence de nos activités uotidiennes et suspendre le fil de nos pensées les plus fonctionnelles ? Afin qu’alors nous ayons quelque chance de commencer à reconnaître que – comme pour ce qu’il en est des " vanités ", ces memento mori de l’âge baroque – la multitude des questions qu’elles semblent nous adresser ne serait en fait que le reflet de celles que, pour nous-mêmes, nous n’osons pas laisser affleurer jusqu’à nos consciences...


Alain BOUILLET - Cannes-et-Clairan, Juillet 2011


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Biographie d’Adam NIDZGORSKI

D’ascendance polonaise, Adam NIDZGORSKI est né en France, à CORMEILLES-en-PARISIS près de PARIS, en 1933. Après des études au collège français, puis au Lycée Polonais de PARISde 1946 à 1951, il obtient une bourse et part pour VARSOVIE en 1951 où il étudie jusqu’en 1954 à l’Akademii Wychowania Fisycznego. Résidant en Pologne jusqu’en 1956, il contribue à y introduire le Judo (13). De retour en France, il gagne la Tunisie dès Février 1957, pays où il demeurera dix ans, devenant professeur d’éducation physique à l’Ecole Supérieure d’Éducation Physique de TUNIS. C’est en 1963, encouragé par une amie, qu’il commence à dessiner et à peindre. Et tout d’abord, en parfait autodidacte. Il utilise alors la gouache, l’encre de Chine, les crayons de couleur, travaille sur papier et s’essaye dès cette époque sur ces supports moins conventionnels.
Première exposition collective à TUNIS en 1965, puis début 1967, exposition individuelle à la Galerie des Arts, à TUNIS, en 1967. De retour en France, en 1967, il rejoint le groupe "Concordance" avec lequel il multiplie les expositions à PARIS et en banlieue parisienne. C’est à l’occasion de l’inauguration de la Fondation DUBUFFET en 1987, qu’Adam NIDZGORSKI rencontre Alain PAUZIÉ , lequel lui conseille de contacter Gérard SENDREY, alors responsable du Centre de la Création-Franche à BÈGLES (près de BORDEAUX, France). En Septembre 1992, ce dernier l’invite à l’exposition collective des Jardiniers de la Mémoire ; puis, à nouveau, en septembre 1994, où son travail est présenté lors d’une exposition jumelée à celle de Raymond RAYNAUD (14). Depuis, de multiples expositions, tant collectives que personnelles, lui ont rendu hommage et pas moins de quatre expositions en 2008 – dont une rétrospective au Site de la Création-Franche – ont permis d’apprécier la richesse et la diversité de son travail. La Galerie de la Halle Saint-Pierre à PARIS, temple de l’art singulier, l’a exposé sur ses cimaises en septembre 2009. Son œuvre figure en permanence au Site de la Création-Franche à BÈGLES (France) ; au Musée de Stadshoff de ZWOLLE (Pays-Bas) ; au musée d’Art Brut de VILLENEUVE D’ASCQ - Donation L’Aracine (France) ; au Musée International d’Art Naïf Anatole Jakovsky à NICE (France) ; au Musée de Navarra à PAMPELUNE (Espagne). Et, bien évidemment, dans de nombreuses collections particulières. En Pologne, VARSOVIE (1973), BYALISTOK (en 2008), PLOCK (en 2009), POZNAN (en 2010 et en 2011) lui ont déjà rendu hommage.



Notes :

1 - Cf. BOUILLET, Alain, La puissance fragile d’Adam NIDZGORSKI ; Cannes-et-Clairan ; Editions Encre et lumière ; 2004 ; 30 p. op.cit. 2 - " L’homme est un être seul vivant avec les autres ", Adam NIDZGORSKI , Journaux intimes ; écrit au dos d’un dessin sur une feuille volante ; carnet gris (spiralé) ; 1972-1973 ; manuscrit appartenant à l’artiste.
3 - Il existe cependant des paysages à l’aquarelle, au pastel ou à la gouache ainsi que quelques études de fleurs (au crayon) et une magnifique nature morte, mais ils appartiennent plutôt à la période TUNISienne du peintre.
4 - Adam NIDZGORSKI a reçu, en 1994, le premier prix de la Ville de Saint-Quentin (patrie du célèbre pastelliste Maurice Quentin de la Tour) pour un travail au pastel à l’huile.
5 - Une somptueuse série de pastels gras, chauffés à l’ampoule électrique, réalisée sur les chutes de listing d’électrocardiogrammes à l’occasion de l’hospitalisation d’un ami : Une autre façon de dire l’amitié ?
6 - Qu’il vaudrait peut-être mieux nommer " collages-textiles " tant la technique du " couper/composer/faufiler/coudre " y est déterminante.
7 - Edouard GLISSANT est un écrivain, poète et essayiste antillais, né le 21 septembre 1928 à Sainte-Marie, à la Martinique.
8 - Entretiens d’ Alain BOUILLET avec Adam NIDZGORSKI . 02 / 01 / 2009.
9 - NIDZGORSKI Adam, Notes, pensées et aphorismes ; Cannes-et-Clairan ; Ed. Encre et Lumière ; 45 p. mars 2005. Préface d’A. BOUILLET
10 - Peter. C. Swann, d’après Berger René, notice sur Mou K’i (1200-1250), Connaissance de la peinture, Tome VIII, op.cit.
11 - NIDZGORSKI Adam, Notes, pensées et aphorismes ; Cannes-et-Clairan ; Ed. Encre et Lumière ; 45 p. mars 2005. Préface d’A. BOUILLET ; op.cit.
12 - NIDZGORSKI Adam, Notes, pensées et aphorismes ; Cannes-et-Clairan ; Ed. Encre et Lumière ; 45 p. mars 2005. Préface d’A. BOUILLET ; op.cit.
13 - Peintre et Judoka, c’est pour ces deux raisons qu’il fut interwievé par la Télévision Polonaise en octobre 2008, à VARSOVIE...
14 - Raymond, RAYNAUD peintre autodidacte



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